Parfois il faut d’abord écouter pour comprendre. Une fois que l’on a compris, on écrit dans le but de ne pas oublier. Parfois, c’est tout long que l’on prend des notes.
Il faut savoir distinguer l’essentiel de l’accessoire, mais en même temps il faut savoir que ce qui peut paraître un détail peut s’avérer être important.
Le cours ne se réduit pas seulement à ce qui a été préparé par l’enseignant ni à ce qu’il dit. Le cours forme un tout et comprend les interventions et la participation des élèves. C’est pourquoi, il ne convient pas de négliger dans sa prise de notes ses propres questions, réflexions ou remarques, ainsi celles des autres.
A chaque cours on procédera de la manière suivante :
Toujours commencer par mettre la date et écrire le titre du cours. A chaque fois qu’une notion ou un auteur est mentionné, on prendra soin de le noter, avec si possible quelques brèves indications. Faire de même avec le vocabulaire utilisé. A savoir que celui-ci peut être technique, propre à la philosophie elle-même ou à d’autres disciplines ou bien être tout à fait usuel prenant un sens philosophique. On pourra également noter les notions dites repères utilisés. On pourra se constituer assez aisément un lexique.
Procéder ainsi permettra de faire aisément des synthèses utiles (fiche-notion, ou fiche-auteur) et un lexique de vocabulaire pour les révisions.
On pourra s’inspirer du tableau (fig.1).