BAC 2016. Les sujets de philo d’Amérique du Nord pour la Série S

Sujet 1

Travailler est-ce seulement mettre en oeuvre des techniques ?

Sujet 2

Peut-on ne pas admettre la vérité ?

Sujet 3

Le gouvernement arbitraire d’un prince juste et éclairé est toujours mauvais. Ses vertus sont la plus dangereuse et la plus sûre des séductions: elles accoutument insensiblement un peuple à aimer, à respecter, à servir son successeur quel qu’il soit, méchant et stupide. Il enlève au peuple le droit de délibérer, de vouloir ou ne vouloir pas, de s’opposer même à sa volonté, lorsqu’il ordonne le bien ; cependant ce droit d’opposition, tout insensé qu’il est, est sacré: sans quoi les sujets ressemblent à un troupeau dont on méprise la réclamation, sous prétexte qu’on le conduit dans de gras pâturages. En gouvernant selon son bon plaisir, le tyran comment le plus grand des forfaits. Qu’est ce qui caractérise le despote ? Est-ce la bonté ou la méchanceté ? Nullement ; ces deux notions n’entrent pas seulement(1) dans sa définition. C’est l’étendue et non l’usage de l’autorité qu’il s’arroge. Un des plus grand malheurs qui pût(2) arriver à une nation, ce seraient deux ou trois règnes d’une puissance juste, douce, éclairée, mais arbitraire : les peuples seraient conduit par le bonheur à l’oubli complet de leurs privilèges, au plus parfait esclavage. »

Denis DIDEROT, Réfutation suivie de l’ouvrage d’Helvétius (1783-1786)

Notes

(1) « pas seulement » = pas du tout

(2) « qui pût » = qui pourrait

TL. Ultime devoir type-bac avant l’examen

BAC-BLANC de Philosophie

Série L

SUJET 1

Une technique est-elle bonne parce qu’elle est efficace ?

SUJET 2

L’État doit-il viser le bonheur des individus ?

SUJET 3

« Quelle est la fonction primitive du langage ? C’est d’établir une communication en vue d’une coopération. Le langage transmet des ordres ou des avertissements. Il prescrit ou il décrit. Dans le premier cas, c’est l’appel à l’action immédiate ; dans le second, c’est le signalement de la chose ou de quelqu’une de ses propriétés, en vue de l’action future. Mais, dans un cas comme dans l’autre, la fonction est industrielle, commerciale, militaire, toujours sociale. Les choses que le langage décrit ont été découpées dans le réel par la perception humaine en vue du travail humain. Les propriétés qu’il signale sont les appels de la chose à une activité humaine. Le mot sera donc le même, comme nous le disions, quand la démarche suggérée sera la même, et notre esprit attribuera à des choses diverses la même propriété, se les représentera de la même manière, les groupera enfin sous la même idée, partout où la suggestion du même parti à tirer, de la même action à faire, suscitera le même mot. Telles sont les origines du mot et de l’idée. L’un et l’autre ont sans doute évolué. Ils ne sont plus aussi grossièrement utilitaires. Ils restent utilitaires cependant. »

BERGSON, La Pensée et le mouvant

 

BAC PHILO : Pondichéry 2016

pondichéry

Les élèves du lycée français de Pondichéry en Inde ont déjà passé leurs épreuves du baccalauréat de manière anticipée par rapport à la métropole et le Guadeloupe. C’était la semaine dernière, du 18 au 22 avril 2016.

Evidemment les sujets ne sont et ne peuvent être les mêmes qu’en métropole et en Guadeloupe, mais ils sont pour nous un bon moyen de préparation et d’entraînement.


Il est possible de télécharger ici les différents sujets.

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SUJETS SERIE L


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SUJETS SERIE S


 

Le langage n’exprime-t-il que ce que l’on veut communiquer ?

Travail individuel de réflexion sur le sujet suivant : « Le langage n’exprime-t-il que ce que l’on veut communiquer ? » puis mise en commun. Travail relativement libre.

SUJET 1 : Le langage n‘exprime-t-il que ce que l’on veut communiquer ?

  • Définition du langage : qu’est-ce le langage ?
    • Le sujet nous demande de définir ce qu’est le langage, on comprend alors que cette définition devra être progressive ;
    • D’autre part, s’il s’agit de définir le langage le danger est de faire un exposé prétendant le faire : ne pas oublier de disserter => il faut un problème
    • Ce problème doit concerner la finalité du langage, si le langage est un outil pour nous exprimer, parvenons-nous à nos fins, à savoir exprimer ce que l’on veut communiquer, est-il un bon outil pour cela, ou bien….
    • On peut partir de ce que propose déjà le sujet, ce qu’il présuppose…
  • Présupposé :
    • Le langage exprime ce que l’on veut communiquer
    • Le langage est de l’ordre de l’expression ; le langage exprime : le langage est un moyen d’expression.
    • On veut communiquer quelque chose (volonté, conscience, maîtrise)
    • Mais la question est de savoir si l’on y parvient
  • Question : si le langage exprime ce que l’on veut communiquer, n’est-il que cela? N’est-il pas aussi autre chose? Le langage n’exprime-t-il pas autre chose que ce que l’on veut communiquer ? Le langage n’exprime-t-il pas ce que l’on ne veut pas communiquer ? Ce que l’on veut laisser cacher (secret) ; ce que l’on n’avait même pas penser communiquer ?

N’y a-t-il pas quelque chose qui échappe…. ? (inconscient, on ne maîtrise pas tout…) A supposer que le langage ne nous permet pas toujours d’exprimer ce que l’on veut communiquer, cela signifie-t-il que l’on doit reprocher au langage de mal s’exprimer ou bien doit-on plutôt en voir les raisons plutôt du locuteur lui-même. Est-ce l’outil qui peut ne pas être bon ou bien est-ce son utilisateur qui peut avoir des difficultés à l’utiliser ?

 

Moi et l’autre : par la parole => me faire comprendre de l’autre ; mais comment se fait-il que l’autre ne me comprend pas toujours ? Est-ce de son côté ou est-ce du mien que se pose le problème ?

  • Notions à travailler (dans le travail préparatoire d’abord):
    • Langage
    • Expression => une pensée en soi à sortir hors de soi : ex-pression
    • Communication => relation avec autrui, mon semblable avec qui je peux faire communauté, avec qui j’ai quelque chose en commun (communication) / la communication comme information /
    • Echanges
    • Volonté (désir ? pourquoi pas ! mais risque de complexifier davantage la réflexion en nous éloignant du langage !)
    • Conscience (pensée) / Inconscient (maîtrise / non maitrise)
    • Secret / révélation (malgré tout) => Ce que l’on veut exprimer et ce que l’on ne veut pas exprimer (à des fins de communication) à autrui…
    • Trahison => le langage qui pourrait trahir notre pensée (voir les deux sens de la trahison)
    • Le sens et l’insensé
  • Recourir au langage, est-ce renoncer à la violence ?
  • Le langage trahit-il la pensée ?
  • Notre vision du monde doit-elle quelque chose au langage ?

Nietzsche. « Ne venez pas me parler de dons naturels ».

Nietzsche
Nietzsche 1844-1900

Ne venez surtout pas me parler de dons naturels, de talents innés ! On peut citer dans tous les domaines de grands hommes qui étaient peu doués. Mais la grandeur leur est venue, ils se sont faits « génies » (comme on dit), grâce à certaines qualités dont personne n’aime à trahir l’absence quand il en est conscient ; ils possédaient tous cette solide conscience artisanale qui commence par apprendre à parfaire les parties avant de se risquer à un grand travail d’ensemble ; ils prenaient leur temps parce qu’ils trouvaient plus de plaisir à la bonne facture du détail, de l’accessoire, qu’à l’effet produit par un tout éblouissant. Il est facile, par exemple, d’indiquer à quelqu’un la recette pour devenir bon nouvelliste, mais l’exécution en suppose des qualités sur lesquelles on passe en général en disant : « je n’ai pas assez de talent ». Que l’on fasse donc cent projets de nouvelles et davantage, aucun ne dépassant deux pages, mais d’une précision telle que chaque mot y soit nécessaire ; que l’on note chaque jour quelques anecdotes jusqu’à savoir en trouver la forme la plus saisissante, la plus efficace, que l’on ne se lasse pas de collectionner et de brosser des caractères et des types d’humanité, que l’on ne manque surtout pas la moindre occasion de raconter et d’écouter raconter, l’oeil et l’oreille attentifs à l’effet produit sur les autres, que l’on voyage comme un paysagiste, comme un dessinateur de costumes, que l’on extraie d’une science après l’autre tout ce qui, bien exposé, produit un effet d’art, que l’on réfléchisse enfin aux motifs des actions humaines, ne dédaigne aucune indication qui puisse en instruire, et soit jour et nuit à collectionner les choses de ce genre. On laissera passer une bonne dizaine d’années en multipliant ces exercices, et ce que l’on créera alors en atelier pourra se montrer aussi au grand jour de la rue.

NIETZSCHE, Humain, trop humain

Schopenhauer. Pourquoi le bonheur fondé sur le désir est-il impossible ?

« Tout vouloir procède d’un besoin, c’est-à-dire d’une privation, c’est-à-dire d’une souffrance. La satisfaction y met fin ; mais pour un désir qui est satisfait, dix au moins sont contrariés ; de plus le désir est long et ses exigences tendent à l’infini ; la satisfaction est courte et elle est parcimonieusement mesurée. Mais ce contentement suprême n’est lui-même qu’apparent ; le désir satisfait fait place aussitôt à un nouveau désir ; le premier est une déception reconnue, le second est une déception non encore reconnue. La satisfaction d’aucun souhait ne peut procurer de contentement durable et inaltérable. C’est comme l’aumône qu’on jette à un mendiant : elle lui sauve aujourd’hui la vie pour prolonger sa misère jusqu’à demain.  – Tant que notre conscience est remplie par notre volonté, tant que nous sommes asservis à la pulsion du désir, aux espérances et aux craintes continuelles qu’il fait naître, tant que nous sommes sujets du vouloir, il n’y a pour nous ni bonheur durable, ni repos. Poursuivre ou fuir, craindre le malheur ou chercher la jouissance, c’est en réalité tout un ; l’inquiétude d’une volonté toujours exigeante, sous quelque forme qu’elle se manifeste, emplit et trouble sans cesse la conscience ; or sans repos le véritable bonheur est impossible. Ainsi le sujet du vouloir ressemble à Ixion attaché sur une roue qui ne cesse de tourner, aux Danaïdes qui puisent toujours pour emplir leur tonneau, à Tantale éternellement altéré ».

Schopenhauer, Le monde comme volonté et comme représentation (1818)

1. Travail préparatoire à l’etude du texte schopenhauer

2. Exemple d’une explication du texte de Schopenhauer

Autrui. Travail sur la notion 5

autruiCi-dessous, une liste de 49 sujets de dissertation portant sur la notion d’autrui. L’exercice proposé est de regrouper les sujets en faisant des rapprochements selon les problèmes abordés. Il conviendra de justifier les choix.

  1. Le désir suppose-t-il autrui ?
  2. Se laisser guider par autrui, est-ce renoncer à sa liberté ?
  3. Ne désire-t-on que ce que désire autrui ?
  4. N’existons-nous que par le regard d’autrui ?
  5. Faut-il s’identifier à autrui pour le comprendre ?
  6. La passion nous sépare-t-elle d’autrui ?
  7. N’avons-nous de devoirs qu’envers autrui ?
  8. Ai-je intérêt à la liberté d’autrui ?
  9. Suffit-il d’être proche d’autrui pour le connaître ?
  10. Qu’est-ce que comprendre autrui ?
  11. La tolérance va-t-elle jusqu’à laisser autrui dans son erreur ?
  12. Puis-je penser sans autrui ?
  13. La liberté de chacun s’arrête-t-elle seulement là où commence celle d’autrui ?
  14. Suffit-il d’être poli envers autrui pour le respecter ?
  15. Ne fait-on son devoir que par crainte du regard d’autrui ?
  16. Respecter autrui est-ce respecter sa différence ?
  17. Peut-on juger autrui ?
  18. L’homme peut-il être humain sans la présence d’autrui ?
  19. Nos rapports avec autrui sont-ils nécessairement conflictuels ?
  20. Peut-on avoir des exigences à l’égard d’autrui ?
  21. Ai-je besoin d’autrui pour être objectif ?
  22. Est-il injuste d’exploiter le travail d’autrui ?
  23. Avons-nous besoin d’autrui pour être libres ?
  24. Le dialogue permet-il de surmonter les obstacles qui nous empêchent de comprendre autrui ?
  25. Pour aimer autrui faut-il le connaître ?
  26. Avons-nous besoin d’autrui pour avoir conscience de nous-mêmes ?
  27. Est-il plus facile de connaître autrui que de se connaître soi-même ?
  28. Peut-on faire le bonheur d’autrui ?
  29. Faut-il aimer autrui pour le respecter ?
  30. Autrui est-il mon semblable ?
  31. Peut-on se connaître soi-même sans l’aide d’autrui ?
  32. Autrui est-il un autre moi-même ?
  33. Comment justifier le respect d’autrui ?
  34. Toute relation à autrui est-elle porteuse de conflits ?
  35. Nos relations avec autrui sont-elles nécessairement conflictuelles ?
  36. Ne désire-t-on que ce qui a de la valeur pour autrui ?
  37. Toute relation à autrui est-elle un échange ?
  38. Pour bien agir, faut-il vouloir le bien d’autrui ?
  39. Peut-on convaincre autrui qu’une oeuvre d’art est belle ?
  40. Le respect d’autrui exclut-il toute passion ?
  41. L’amitié est-elle la forme idéale du rapport à autrui ?
  42. La présence d’autrui nous évite-t-elle la solitude ?
  43. Au nom de quoi peut-on reprocher à autrui d’être égoïste ?
  44. Suis-je dans le même temps qu’autrui ?
  45. Ne respectons-nous autrui qu’afin qu’il nous respecte ?
  46. A-t-on le devoir d’aimer autrui ?
  47. Faut-il vivre pour autrui ?
  48. Respecter autrui est-ce respecter en lui la personne humaine ?
  49. La conscience de soi suppose-t-elle autrui ?

Compte-rendu de la mise en commun de l’exercice (séance 1 – TL)

Sujets sur autrui TL

Le travail est à poursuivre, mais il conviendra notamment de formuler le problème dont il est question dans chacun des groupes de sujets et d’être attentif aux nuances qu’apporte chaque sujet, leur « biais ».

Compte-rendu de l’exercice (TL – séance 2)

Sujets sur autrui TL 2L’exercice est à poursuivre, notamment en ce qui concerne les sujets qui articulent la notion d’autrui avec d’autres notions au programme. En outre, il convient de reprendre chacun des groupes trouvés et de proposer à chaque fois un texte exprimant une problématique en proposant un fil conducteur entre les sujets.

 

Alain. La prise de conscience et ses paradoxes

Didier Maes,  Inspecteur Pédagogique Régional de Philosophie, nous explique un propos d’Alain qui n’a été publié qu’en 1955, soit 4 ans après la mort du philosophe. Texte difficile qui a été déjà donné comme sujet de baccalauréat.

Alain 1868-1951
Alain 1868-1951

« Dans le sommeil, je suis tout ; mais je n’en sais rien. La conscience suppose réflexion, division. La conscience n’est pas immédiate. Je pense, et puis je pense que je pense, par quoi je distingue Sujet et Objet, Moi et le monde. Moi et ma sensation. Moi et mon sentiment. Moi et mon idée. C’est bien le pouvoir de douter qui est la vie du moi. Par ce mouvement, tous les instants tombent au passé. Si l’on se retrouvait tout entier, c’est alors qu’on ne se reconnaîtrait pas. Le passé est insuffisant, dépassé. Je ne suis plus cet enfant, cet ignorant, ce naïf. Ce moment-là même j’étais autre chose en espérance, en avenir. La conscience de soi est la conscience d’un devenir et d’une formation de soi irréversible, irréparable. Ce que je voulais, je le suis devenu. Voilà le lien entre le passé et le présent, pour le mal comme pour le bien.
Ainsi le moi est un refus d’être moi, qui en même temps conserve les moments dépassés. Se souvenir, c’est sauver ses souvenirs, c’est se témoigner qu’on les a dépassés. C’est les juger. Le passé, ce sont des expériences que je ne ferai plus. Un artiste reconnaît dans ses oeuvres qu’il ne s’était pas encore trouvé lui-même, qu’il ne s’était pas encore délivré ; mais il y retrouve un pressentiment de ce qui a suivi. C’est cet élan qui ordonne les souvenirs selon le temps. »

ALAIN, Manuscrits inédits


La prise de conscience et ses paradoxes… par projeteee

Bergson. « Conscience est synonyme de choix »

Travail donné en classe donné à toutes les classes, avec quelques variantes au niveau des questions.

Sujet : Extrait, de la Conscience et la Vie de Bergson

Qu’arrive-t-il quand une de nos actions cesse d’être spontanée pour devenir automatique ? La conscience s’en retire. Dans l’apprentissage d’un exercice, par exemple, nous commençons par être conscients de chacun des mouvements que nous exécutons, parce qu’il vient de nous, parce qu’il résulte d’une décision et implique un choix, puis, à mesure que ces mouvements s’enchaînent davantage entre eux et se déterminent plus mécaniquement les uns des autres, nous dispensant ainsi de nous décider et de choisir, la conscience que nous en avons diminue et disparaît. Quels sont, d’autre part, les moments où notre conscience atteint le plus de vivacité ? Ne sont-ce pas les moments de crise intérieure, où nous hésitons entre deux ou plusieurs partis à prendre, où nous sentons que notre avenir sera ce que nous l’aurons fait ? Les variations d’intensité de notre conscience semblent donc bien correspondre à la somme plus ou moins considérable de choix ou, si vous voulez, de création, que nous distribuons sur notre conduite. Tout porte à croire qu’il en est ainsi de la conscience en général. Si conscience signifie mémoire et anticipation, c’est que conscience est synonyme de choix.

1°) Comprendre le texte

  • Bergson, dans ce texte oppose deux façons d’agir, lesquelles ?
  • Pourquoi assimile-t-il les termes « choix » et « création » ?
  • Pourquoi dit-il « conscience signifie mémoire et anticipation » ?

2°) Souligner les enjeux du texte

  • Quel est l’intérêt de penser la conscience en termes de variation d’intensité plutôt qu’en termes de présence et d’absence ?

3°) Examiner les conséquences des thèses

  • Pour avoir le choix, il faut que plusieurs possibilités se présentent à nous. Dire que conscience est synonyme de choix n’est-ce pas affirmer le lien entre la conscience et la liberté ? Pour répondre à cette question, réfléchissez à la notion de création.
  • Quel est le lien entre la conscience et le temps ?

4°) Repérer le thème, la thèse et le problème du texte

  • Quel est le sujet abordé par Bergson ? (thème)
  • Que dit-il de particulier sur le thème ? (thèse + citation)
  • Quelle difficulté Bergson entend-il résoudre ? (problème)

5°) Dégagez de manière précise et détaillée la structure logique du texte

6°) Rédigez une introduction à l’étude de texte