Premier sujet de dissertation pour les élèves de TL. « Peut-on en finir avec les préjugés ? » Dissertation à rendre le 5 octobre 2012. D’ici là, un travail régulier et progressif s’impose. Première étape : pour mardi 25 septembre 2012, tenter de comprendre le sujet et à partir de ce que vous pensez avoir compris, écrire tout ce qui vous vient à l’esprit, sans autocensure, il sera temps ultérieurement d’opérer un tri, des choix et d’organiser une pensée cohérente. Il est possible, dors et déjà, de noter le fruits de vos réflexions ci-dessous.
Poursuivre la lectureAuteur/autrice : Herve Moine
Quelles représentations avons-nous de la philosophie ?
Le prof : Tout d’abord, nous sommes partis d’un exercice ayant pour objectif de faire émerger, pour chacun d’entre nous, nos représentations sur la philosophie, pour ensuite, effectuer une mise en commun de celles-ci ; le but étant de les faire évoluer. C’est Anaïs qui a pris soin d’en rédiger une synthèse. Anaïs :
Poursuivre la lectureTL. Travail préparatoire à l’étude de texte
Pour mardi 25 septembre 2012 Faire le travail préparatoire à l’étude de texte et proposer une introduction. Texte proposé : extrait des Méditations cartésiennes de Husserl : « Quiconque veut vraiment devenir philosophe devra => Voeu de pauvreté en matière de connaissance » Rappel : le travail préparatoire consiste à repérer le thème, de rédiger la question à laquelle Husserl répond et sa réponse en extrayant une citation exprimant le mieux son idée. On prendra soin de travailler la structure logique afin de dégager de manière détaillée l’argumentation du texte. Si possible, rédiger la ou les positions opposées à celle de l’auteur. Pour finir,
Poursuivre la lectureLa philosophie comme l’affaire personnelle du philosophe
« Quiconque veut vraiment devenir philosophe devra « une fois dans sa vie » se replier sur soi-même et, au-dedans de soi, tenter de renverser toutes les sciences admises jusqu’ici et tenter de les reconstruire. La philosophie – la sagesse – est en quelque sorte une affaire personnelle du philosophe. Elle doit se constituer en tant que sienne, être sa sagesse, son savoir qui, bien qu’il tende vers l’universel, soit acquis par lui et qu’il doit pouvoir justifier dès l’origine et à chacune de ses étapes, en s’appuyant sur ses intuitions absolues. Du moment que j’ai pris la décision de tendre
Poursuivre la lectureHegel. La philosophie comme « une affaire sérieuse »
« Il paraît particulièrement nécessaire de faire de nouveau de la philosophie une affaire sérieuse. Pour toutes les sciences, les arts, les talents, les techniques prévaut la conviction qu’on ne les possède pas sans se donner la peine et sans faire l’effort de les apprendre et de les pratiquer. Si quiconque ayant des yeux et des doigts, à qui on fournit du cuir et un instrument, n’est pas pour cela en mesure de faire des souliers, de nos jours domine le préjugé selon lequel chacun sait immédiatement philosopher et apprécier la philosophie puisqu’il possède l’unité de, mesure nécessaire dans sa
Poursuivre la lectureTSTI2d. De la différence entre le plaisir de manger et le plaisir de la table
Le plaisir de manger est la sensation actuelle et directe d’un besoin qui se satisfait. Le plaisir de la table est la sensation réfléchie qui naît des diverses circonstances de faits, de lieux, de choses et de personnes qui accompagnent le repas. Le plaisir de manger nous est commun avec les animaux ; il ne suppose que la faim et ce qu’il faut pour la satisfaire. Le plaisir de la table est particulier à l’espèce humaine ; il suppose des soins antécédents pour les apprêts du repas, pour le choix du lieu et le rassemblement des convives. Le plaisir de
Poursuivre la lectureAlain. « Penser, c’est dire non. »
« Penser, c’est dire non. Remarquez que le signe du oui est d’un homme qui s’endort ; au contraire le réveil secoue la tête et dit non. Non à quoi ? Au monde, au tyran, au prêcheur ? Ce n’est que l’apparence. En tous ces cas-là, c’est à elle-même que la pensée dit non. Elle rompt l’heureux acquiescement. Elle se sépare d’elle-même. Elle combat contre elle-même. Il n’y a pas au monde d’autre combat. Ce qui fait que le monde me trompe par ses perspectives, ses brouillards, ses chocs détournés, c’est que je consens, c’est que je ne cherche pas autre
Poursuivre la lecturePetites phrases de grands philosophes
Les 10 citations les plus connues Des citations de philosophes devenues proverbes ou maximes populaires « Je sais que je ne sais rien. » Socrate « Je pense, donc je suis. » Descartes « La religion est l’opium du peuple. » Marx « L’homme est un loup pour l’homme. » Hobbes « Dieu est mort. » Nietzsche « L’homme est né libre et partout il est dans les fers. » Rousseau « L’enfer, c’est les autres. » Sartre « Ne désire que ce qui dépend de toi. » Epictète « Le cœur a ses raisons que la raison ne connaît point. » Pascal « La mort n’est rien pour nous. » Epicure Affiché en salle de philo
Poursuivre la lectureQuelles sont les grandes questions philosophiques pour Kant ?
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Poursuivre la lectureQuelles sont les grandes questions philosophiques pour Platon ?
affiché en salle philo
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