Encore un texte de Bergson, extrait de la Pensée et le mouvant, soumis par une élève de terminale S. Il s’agit d’un sujet tombé l’an dernier, en juin 2013, pour les élèves de la série S de la France métropolitaine. Ci-dessous vous avez la proposition de travail préparatoire de l’élève.
Poursuivre la lectureÉtiquette : Vérité
L’histoire est-elle une science impossible ?
L’histoire est-elle une science impossible ? Pourquoi ne pas réviser la philosophie en vous entraînant sur ce sujet, proposé aux élèves de la série ES, au Liban, dans le cadre du baccalauréat 2014 ? Quel est le problème dont il est question dans ce sujet ? Et quelle démarche pourriez-vous proposer ? Vous pouvez en commentaire lien leave a comment , proposer des formulations de problèmes, vos réflexions, …. ou même vos questions…
Poursuivre la lectureEst-ce seulement par la raison qu’on peut accéder à la vérité ?
Est-ce seulement par la raison qu’on peut accéder à la vérité ? Pourquoi ne pas réviser la philosophie en vous entraînant sur ce sujet, proposé aux élèves de la série S, au Liban, dans le cadre du baccalauréat 2014 ? Quel est le problème dont il est question dans ce sujet ? Et quelle démarche pourriez-vous proposer ? Vous pouvez en commentaire lien leave a comment , proposer des formulations de problèmes, vos réflexions, …. ou même vos questions…
Poursuivre la lectureSujet percevant, objet perçu
Le monde. Nous croyons le percevoir immédiatement. Il semble se donner à nous tel qu’il est. Brutalement il s’impose. Passif, je suis. Aussi, percevoir ne serait rien d’autre que récolter des informations sensibles. Voir, entendre, toucher, goûter… voilà l’accès aux choses, au monde. Rencontre du sujet à l’objet, telle est la perception. Sujets, c’est vers tel objet ou vers tel autre que nous pouvons orienter notre attention. Je quitte la fenêtre des yeux pour regarder mon professeur de philosophie, je me consacre désormais pleinement à son cours, délaissant les bruits divers et épars du lycée. Par la perception, j’accède à
Poursuivre la lecturePiaget. La nécessaire décentration du sujet
« Certes, quand la physique travaille sur des objets à notre échelle courante d’observations, on peut considérer son objet comme relativement indépendant du sujet. Il est vrai que cet objet n’est alors connu que grâce à des perceptions, qui comportent un aspect subjectif, et grâce à des calculs ou à une structuration métrique ou logico-mathématique, qui relèvent eux aussi d’activités du sujet. Mais il convient dès l’abord de distinguer le sujet individuel, centré sur ses organes des sens ou sur l’action propre, donc le « moi » ou sujet égocentrique source de déformations ou illusions possibles de nature « subjective » en ce premier
Poursuivre la lectureKarl Jaspers. Philosopher c’est être en route
« Le mot grec « philosophie » (philosophos) est formé par opposition à sophos. Il désigne celui qui aime le savoir, par différence avec celui qui, possédant le savoir, se nomme savant. Ce sens persiste encore aujourd’hui : l’essence de la philosophie, c’est la recherche de la vérité, non sa possession, même si elle se trahit elle-même, comme il arrive souvent, jusqu’à dégénérer en dogmatisme, en un savoir mis en formules, définitif, complet, transmissible par l’enseignement. Faire de la philosophie, c’est être en route. Les questions, en philosophie, sont plus essentielles que les réponses, et chaque réponse devient une nouvelle
Poursuivre la lectureTL. Peut-on en finir avec les préjugés ? 2ème étape
Suite du travail préparatoire sur le sujet de dissertation « Peut-on en finir avec les préjugés ? » Deuxième étape : Pour le mardi 2 octobre, poursuivre l’étude à partir de la base (éléments d’analyse du sujet) qui a été vue en classe. Il sera possible pour donner du contenu au développement de la dissertation de travailler les références ci-dessous. Ceci dit, l’utilisation de ces références n’est nullement une nécessité. Il s’agit simplement d’une possibilité. Texte 1 Platon, La république, Livre VII Voir le recueil de texte : l’Allégorie de la Caverne Texte 2 « Le bon sens est la chose du monde la
Poursuivre la lectureAlain. « Penser, c’est dire non. »
« Penser, c’est dire non. Remarquez que le signe du oui est d’un homme qui s’endort ; au contraire le réveil secoue la tête et dit non. Non à quoi ? Au monde, au tyran, au prêcheur ? Ce n’est que l’apparence. En tous ces cas-là, c’est à elle-même que la pensée dit non. Elle rompt l’heureux acquiescement. Elle se sépare d’elle-même. Elle combat contre elle-même. Il n’y a pas au monde d’autre combat. Ce qui fait que le monde me trompe par ses perspectives, ses brouillards, ses chocs détournés, c’est que je consens, c’est que je ne cherche pas autre
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