Le savant doit-il fuir l’incertitude ?

Le philosophe Alain

A la demande de certaines personnes, j’ouvre cet article sur le sujet suivant :

Le savant doit-il fuir l’incertitude ?

Nous sommes au début de l’année, et pour beaucoup d’élèves de terminale c’est le temps de produire leur première dissertation de philosophie. Et ce n’est pas parce que l’on en n’a jamais fait qu’il ne faut pas se lancer, il faut bien comme on dit une première fois. Il faut se lancer et savoir se mettre en danger, accepter l’idée qu’il s’agit d’une expérience de pensée et non une activité se contenter de suivre de manière scrupuleuse des recettes et des formules. Pour cela, il faut un certain courage, non pas parce que ce n’est pas facile, mais parce qu’il y a une implication forte de soi. « Aie le courage de te servir de ton propre entendement ! » telle est la devise des Lumières selon Emmanuel Kant, telle doit être la devise de tout penseur, à commencer par l’élève-philosophe.

Donc, que l’on ne compte pas sur ce site pour avoir un prêt-à-penser, comme il existe un prêt-à-porter, qu’il suffirait de copier et de coller. Cet espace qui est ici ouvert dans ce PhiloBlog c’est un espace de mise en chantier, d’expérience de pensée. Et si possible un espace partagé !

Un célèbre savant, le Professeur Tournessol

Après un rappel de ces principes venons-en au sujet que l’on m’a suggéré. « Le savant doit-il fuir l’incertitude ? » Commençons par interroger le sujet pour savoir ce qu’il peut dire de lui-même. Il me semble qu’avant de chercher ailleurs, dans un cours, sur un site ou dans des livres, il convient en premier lieu de travailler le sujet pour en extraire ce qu’il peut vouloir impliquer.

COMPRENDRE LE SUJET

1°) Tout d’abord, quelle est ou quelles sont les notions du programme de philosophie auxquelles se réfère ce sujet ? Une première difficulté à ce niveau est déjà de pouvoir faire ce travail d’identification, puisque aucune n’apparaît en toute lettre. On peut cependant rapprocher les notions du sujet au moins d’une notion du programme. Laquelle, lesquelles ?

Une remarque : la plupart des sujets du baccalauréat aujourd’hui comporte directement une ou plusieurs notions au programme de la série présentée. Ce sujet offre donc une difficulté supplémentaire.

Toujours est-il qu’une fois la ou les notions repérées, il convient d’envisager tous les sens possibles sans faire de tri tout d’abord. Il sera temps ensuite de ne se réserver que les sens en fonction de leur pertinence à l’égard du sujet.

2°) Il faut s’interroger sur le sens des autres notions, ici « savant » et « incertitude ».

3°) Une attention toute particulière doit être portée sur ce qui articule les notions du sujet. Ici, « doit fuir » articule savant et incertitude ; « doit fuir » est un groupe verbal comportant deux notions qui devront être traitées comme telles : la notion de « devoir » et la notion de « fuite ». En outre, remarquons les articles, notamment « LE savant » et non « UN savant », ni « être savant ».

4°) Le sujet nous interroge sur la démarche même du savant, son attitude, son devoir ? Que doit faire le savant ? Mais pour quoi faire justement ? Pour être savant précisément ou pour le demeurer. Donc pour commencer il convient de s’interroger sur ce qu’est-ce qu’un savant et sur son attitude. Un savant c’est celui qui sait littéralement parlant. Un savant est celui qui en principe possède le savoir. Qu’est-ce que savoir ? Qu’est-ce que le savoir ? Le sujet semble suggérer que le savoir est un ensemble de certitudes. A moins que le savoir ne soit pas nécessairement vrai !

Si un savant est celui qui possède le savoir, il peut paraître étrange de vouloir s’interroger sur son attitude. Dès lors, en effet, que l’on possède le savoir il semble incongru de se demander s’il doit fuir l’incertitude car en principe du fait même qu’il possède le savoir il se tient loin de toute incertitude, son savoir étant certitude. Le savant n’est-il pas celui qui se contente de contempler la certitude ?

Quelle attitude le savant doit il avoir face à l’incertitude ? En quoi fuir l’incertitude peut-il être un devoir pour le savant ? La fuir comme si c’était la peste ? Ne devrait-il pas plutôt s’y confronter ? Ne peut-elle pas jouer un rôle dans l’acte même de savoir ?

Après cette première étape nous tâcherons de problématiser.

Dans l’attente de nos échanges…

Toute contribution devra faire l’effort d’être correct tant sur la plan de l’expression que du comportement.

Séance 1 de préparation à l’oral

rousseaucontratRetour sur le livre 1 du Contrat Social de Rousseau à travers une série de questions de compréhension et de réflexion.

Ces questions, qui ont fait l’objet d’un commentaire en classe, doivent être travaillés personnellement. Elles peuvent être des questions posées par l’examinateur ou bien des questions qu’il convient de se poser pour l’étude d’extraits.

En outre, répondre aux questions nécessite que l’on définisse les notions et que l’on structure sa sa réponse.

Questions de compréhension

  1. Quel est, à la lecture du préambule, l’objet du Contrat Social ?
  2. Que signifie la formule : « l’homme est né libre et partout il est dans les fers »?
  3. Pourquoi Rousseau distingue-t-il l’obéissance par contrainte et l’obéissance par devoir ?
  4. Que veut dire Rousseau lorsqu’il affirme que l’ordre est u droit sacré qui sert de fondement à tous les autres »?
  5. Sur quoi se fonde l’ordre social ?
  6. Que veut montrer Rousseau au chapitre 2 ?
  7. En quoi l’étude succincte des premières sociétés est-elle nécessaire à la démonstration de Rousseau ? Pourquoi ne s’y attarde-t-il pas ?
  8. Quel sens prend la notion de peuple au chapitre 5 ?
  9. Quel lien logique peut-on faire entre le contenu des chapitres 2, 3, 4 et celui du chapitre 5 ?
  10. En quoi le caractère hypothétique du discours de Rousseau est-il essentiel ?
  11. Le pacte social vise-t-il d’abord la défense de l’intérêt bien compris de chaque associé ou la réalisation du bien commun ?
  12. Comment Rousseau définit-il la liberté ? En quoi est-elle la condition du pacte social ?
  13. Peut-on comparer le peuple à un organisme vivant ? Quelles sont les limites de cette métaphore ?
  14. Qui sont les contractants du pacte social ? En quoi le pacte social est-il un contrat d’une nature spéciale ?
  15. Quelles sont les conséquences pratiques du pacte social
  16. Selon Rousseau, qui est le détenteur légitime de la souveraineté ?

Questions de réflexion

  1. Peut-on avec raison reprocher avec Rousseau le caractère utopique, voire idéaliste, de son propos ? Plus généralement, toute théorie politique ne souffre-t-elle pas d’abord d’être une théorie ?
  2. Pourquoi Rousseau met-il de côté la question de savoir comme s’est fait le changement qui a conduit l’homme à perdre sa liberté native ?
  3. Tout ordre social juste suppose-t-il la liberté des citoyens ?
  4. Faut-il lier liberté et obéissance ?
  5. Faut-il opposer la force et le droit ?
  6. Pourquoi ne peut-on aliéner volontairement sa liberté ?
  7. Tout droit procède-t-il nécessairement de conventions ?
  8. L’avis de la majorité suffit-il à légitimer une décision d’ordre politique ?
  9. Qu’est-ce qui pousse les hommes à entrer en société ?
  10. Faut-il considérer la communauté politique sur le modèle de la machine ou sur le modèle du corps vivant ?
  11. Le contrat social est-il la seule manière de légitimer l’ordre social ?
  12. Quelles sont les conditions nécessaires à l’établissement du droit de propriété ?

Exercices pour la séance 2

 

Exercice 1

Texte 1 : Préambule, le chapitre I Sujet de ce premier Livre et chapitre II Des premières Sociétés du Livre premier du Contrat social.

  1. Lire le Préambule, le chapitre I Sujet de ce premier Livre et chapitre II Des premières Sociétés du Livre premier du Contrat social.
  2. Analyser le chapitre I
  3. Etudier les étapes de l’argumentation de Rousseau dans le chapitre II.

Exercice 2

Texte 2 : « Le plus fort n’est jamais assez fort pour être toujours le maître, s’il ne transforme sa force en droit et l’obéissance en devoir. => il ne signifie ici rien du tout. »

  1. Retrouver l’extrait dans le Livre I du Contrat social et lire le texte de telle manière à pouvoir répondre aux questions suivantes :
  2. Dans quel le contexte se situe cet extrait, cf. les chapitres 1 et 2 du Livre I ?
  3. Quelle est la question à laquelle Rousseau répond dans ce texte ?
  4. Quelle est sa thèse, c’est-à-dire qu’elle est la réponse qu’il donne à cette question ?
  5. Quelles sont les étapes de l’argumentation de Rousseau ?
  6. A quel philosophe, Rousseau s’oppose-t-il ici ?
  7. Quels sont les notions et expressions qui devront donner lieu à une attention particulière dans l’analyse ?

Oral de contrôle. Séances de révisions programmées

Bonjour à tous,

Voilà trois jours que vous avez terminé votre série d’épreuves comptant pour le premier tour du baccalauréat. J’espère de tout coeur que cela s’est bien passé pour vous tous et que vous serez récompensés d’ici peu de votre travail fourni et que vous pourrez entamer vos vacances le coeur léger et des projets plein la tête. Il n’y a plus qu’à attendre, car désormais, « les jeux sont faits », « les dés sont jetés » comme dirait Sartre. Il n’y a plus qu’à attendre et assumer, ce n’est pas forcément facile, l’attente est parfois angoissante. Maintenant, si vous êtes dans la certitude de la réussite, alors dans votre tête vous êtes déjà libérés.
Cependant, vous n’êtes pas sans savoir que vous avez une deuxième chance d’obtenir votre examen lors d’un deuxième tour, si au premier vous avez obtenu entre 8/20 et 10/20. Mais pour saisir cette chance encore faut-il mettre tous les atouts de son côté en préparant cet oral dit de contrôle. A cette fin, il convient de se remettre à la tâche, de travailler et de réviser. Eh oui encore et encore ! Quand vous aurez vos résultats, le 4 juillet, vous n’aurez plus de temps pour vous préparer, si ce n’est le weekend précédent votre épreuve, ce qui sera insuffisant. Alors pour éviter toute panique et précipitation, je vous invite d’ores et déjà à préparer cet éventuel oral, en étudiant notamment les disciplines pour lesquelles vous avez un doute quant à votre réussite.
Il y a trois critères à prendre en compte dans le choix des deux disciplines pour l’oral de contrôle :
1) la note obtenue à l’écrit dans la matière
2) le coefficient de la discipline
3) le travail effectué durant l’année dans la matière
C’est donc une question de stratégie. Mais en amont, la stratégie qui prévaut n’est pas d’attendre le dernier moment mais bel et bien de parer à toute éventualité.
Maintenant, en ce qui concerne la philosophie, je vous propose des séances de révision à partir de la semaine prochaine :
  • Lundi 30 juin : de 8h à 12h : Révision Rousseau, Du Contrat social
  • Mardi 1er juillet : de 8h à 12h : Révision Rousseau, Du Contrat social
  • Mercredi 2 juillet : pas de séance, je suis de jury de bac
  • Jeudi 3 juillet  : de 8h à 12h : Révision Bergson, La conscience et la vie (séance spéciale TL)
  • Vendredi 4 juillet : Résultats du bac.
  • Samedi 5 juillet : sous réserve, organisation d’un oral blanc avec les élèves concernés
Dernière chose, je vous demande de me dire par mail si vous comptez venir à ces séances. Je ne veux pas me déplacer pour rien et cela me permettra de préparer les séances. En outre, je demande aux élèves volontaires de venir avec le livre et en ayant au moins relu l’oeuvre. Les séances ne seront efficaces et profitables que si on est tous sur la même longueur d’ondes. L’objet de ces séances est de faire des exercices de préparation à l’oral.
Si vous avez des questions je me ferai un plaisir de vous répondre.
Faites passer ce mail entre vous.
Dans l’attente, je vous souhaite une bonne suite de journée.

Votre prof de philo

Merleau-Ponty. Nous vivons d’abord dans l’expérience d’autrui

Pourquoi ne pas réviser la philosophie en vous entraînant sur ce texte, proposé aux élèves de la série ES, au Liban, dans le cadre du baccalauréat 2014 ?

Quel est le problème dont il est question dans ce texte ? Quelle est la position de Maurice Merleau-Ponty ? Quels sont ses arguments ? S’oppose-t-il à une thèse ?

  • Vous pouvez en commentaire lien leave a comment , proposer des formulations de problèmes, vos réflexions, …. ou même vos questions…

Merleau Ponty« Nous ne vivons pas d’abord dans la conscience de nous-même – ni même d’ailleurs dans la conscience des choses – mais dans l’expérience d’autrui. Jamais nous ne nous sentons exister qu’après avoir déjà pris contact avec les autres, et notre réflexion est toujours un retour à nous-même, qui doit d’ailleurs beaucoup à notre fréquentation d’autrui. Un nourrisson de quelques mois est déjà fort habile à distinguer la bienveillance, la colère, la peur sur le visage d’autrui, à un moment où il ne saurait avoir appris par l’examen de son propre corps les signes physiques de ces émotions. C’est donc que le corps d’autrui, dans ses diverses gesticulations, lui apparaît investi d’emblée d’une signification émotionnelle, c’est donc qu’il apprend à connaître l’esprit tout autant comme comportement visible que dans l’intimité de son propre esprit. Et l’adulte lui-même découvre dans sa propre vie ce que sa culture, l’enseignement, les livres, la tradition lui ont appris à y voir. Le contact de nous- même avec nous-même se fait toujours à travers une culture, au moins à travers un langage que nous avons reçu du dehors et qui nous oriente dans la connaissance de nous-même. Si bien qu’enfin le pur soi, l’esprit, sans instruments et sans histoire, s’il est bien comme une instance critique que nous opposons à la pure et simple intrusion des idées qui nous sont suggérées par le milieu, ne s’accomplit en liberté effective que par l’instrument du langage et en participant à la vie du monde. »

Maurice MERLEAU-PONTY, Causeries (1948)

Peut-on vouloir la justice au mépris du droit ?

Peut-on vouloir la justice au mépris du droit ?

Pourquoi ne pas réviser la philosophie en vous entraînant sur ce sujet, proposé aux élèves de la série ES, au Liban, dans le cadre du baccalauréat 2014 ?

Quel est le problème dont il est question dans ce sujet ? Et quelle démarche pourriez-vous proposer ?

  • Vous pouvez en commentaire lien leave a comment , proposer des formulations de problèmes, vos réflexions, …. ou même vos questions…

L’histoire est-elle une science impossible ?

L’histoire est-elle une science impossible ?

Pourquoi ne pas réviser la philosophie en vous entraînant sur ce sujet, proposé aux élèves de la série ES, au Liban, dans le cadre du baccalauréat 2014 ?

Quel est le problème dont il est question dans ce sujet ? Et quelle démarche pourriez-vous proposer ?

  • Vous pouvez en commentaire lien leave a comment , proposer des formulations de problèmes, vos réflexions, …. ou même vos questions…

Bergson. Il n’est pas douteux que la force n’ait été à l’origine de la division en classes subordonnées les unes aux autres

Pourquoi ne pas réviser la philosophie en vous entraînant sur ce texte, proposé aux élèves de la série S, au Liban, dans le cadre du baccalauréat 2014 ?

Quel est le problème dont il est question dans ce texte ? Quelle est la position de l’auteur ? Quels sont ses arguments ? S’oppose-t-il à une thèse ?

  • Vous pouvez en commentaire lien leave a comment , proposer des formulations de problèmes, vos réflexions, …. ou même vos questions…

Bergson« Il n’est pas douteux (…) que la force n’ait été à l’origine de la division des anciennes sociétés en classes subordonnées les unes aux autres. Mais une subordination habituelle finit par sembler naturelle, et elle se cherche à elle-même une explication : si la classe inférieure a accepté sa situation pendant assez longtemps, elle pourra y consentir encore quand elle sera devenue virtuellement la plus forte, parce qu’elle attribuera aux dirigeants une supériorité de valeur. Cette supériorité sera d’ailleurs réelle s’ils ont profité des facilités qu’ils se trouvaient avoir pour se perfectionner intellectuellement et moralement; mais elle pourra aussi bien n’être qu’une apparence soigneusement entretenue. Quoi qu’il en soit, réelle ou apparente, elle n’aura qu’à durer pour paraître congénitale : il faut bien qu’il y ait supériorité innée, se dit-on, puisqu’il y a privilège héréditaire. La nature, qui a voulu des sociétés disciplinées, a prédisposé l’homme à cette illusion ».

BERGSON, Les Deux Sources de la morale et de la religion (1932)

Proposition d’Elodie : premier jet d’une amorce de travail préparatoire

BROUILLON SUJET LIBAN 2014 (1)

Ce brouillon appelle des remarques : Il s’agit d’une première lecture, qui pour l’instant apparaît rapide. Il n’est pas certain qu’à ce stade le texte soit très bien compris :

BROUILLON SUJET LIBAN 2014

Il faut donc poursuivre l’étude en reprenant la lecture du texte.

Le premier conseil est de bien faire attention à la première phrase. N’y a-t-il pas une double négation ? Une fois cette première phrase comprise, il sera plus facile de voir quelle est la position que Bergson soutient.

Il y a moyen de mieux montrer comment le texte est construit.

Quel est le problème que soulève le sujet ?

La dernière phrase parle d’une illusion. De quelle illusion s’agit-il ?

Sinon, je proposais comme thèse opposée à celle de l’auteur, la position naturaliste de Zola. Peut-être le naturalisme a-t-il été étudié par ailleurs en cours de littérature ? A défaut faire quelques recherches.

Est-ce seulement par la raison qu’on peut accéder à la vérité ?

Est-ce seulement par la raison qu’on peut accéder à la vérité ?

Pourquoi ne pas réviser la philosophie en vous entraînant sur ce sujet, proposé aux élèves de la série S, au Liban, dans le cadre du baccalauréat 2014 ?

Quel est le problème dont il est question dans ce sujet ? Et quelle démarche pourriez-vous proposer ?

  • Vous pouvez en commentaire lien leave a comment , proposer des formulations de problèmes, vos réflexions, …. ou même vos questions…

Peut-on enfreindre la loi au nom de la justice ?

Peut-on enfreindre la loi au nom de la justice ?

Pourquoi ne pas réviser la philosophie en vous entraînant sur ce sujet, proposé aux élèves de la série S, au Liban, dans le cadre du baccalauréat 2014 ?

Quel est le problème dont il est question dans ce sujet ? Et quelle démarche pourriez-vous proposer ?

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